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Depuis la chute du cours de nickel en 2015 qui a été de 40 %, ce métal, pourtant assez important, ne cesse de perdre de la place sur le marché. Au fil des années, il n’a pas cessé de faire parler de lui. Plusieurs usines et mines ont dû fermer après cette grosse crise.
Les premières victimes…
Les premières victimes de cette crise sont surement la compagnie brésilienne Votorantim Metais qui a dû arrêter son activité et mettre les clés sous la porte et le deuxième est Queensland Nickel en Australie qui s’est mis en liquidation judiciaire.
D’autres ont dû serrer les dents et voir leurs prix à la baisse afin de garder une certaine position sur le marché. Toutefois, ce n’est pas évident au vu des résultats aujourd’hui.
En 2017, c’est encore pire
Deux années après la première crise, celle-ci continue. La baisse du prix étant due à un surplus de minerai contre une très faible demande de ce métal, a forcé plusieurs usines de transformation à fermer les portes également, notamment en Asie.
Ne pouvant plus faire face à cette stagnation du marché, les gains n’arrivent plus à couvrir les coûts. Ceci dit, certaines usines de productions travaillent quand même à perte en attendant un changement dans le marché. Ceci dit, les perspectives des experts ne sont pas prometteuses.
Un pari gagnant d’Eramet
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La SLN d’Eramet avait affirmé le fait d’envisager un arrêt de son activité de production de concentré de Nickel en 2015. Pourtant, en 2017, l’usine est toujours en activité.
Cette compagnie a fait plusieurs paris pour garder sa position sur le marché. En 2015, elle a fait des économies d’énergie afin de diminuer considérablement les coûts. Le pari consiste à tenir sa position pourtant très délicate, en attendant que ses concurrents baissent les bras en premiers.
Ce pari n’est pas encore gagné vu qu’Eramet envisage encore des réductions de coûts en renforçant son plan de départ mais, il semble sur le bon chemin si ce métal ne connait pas d’autres grosses crises comme celle de 2015. Un long travail attend encore son SNL.